MOVIES 2000, LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS

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vendredi 30 avril 2010

SEPT COURTS METRAGES - 12,50 €





Sin'Art poursuit sa sélection de courts métrages à l'occasion de ce troisième volet de Cinétrange, avec au programme sept titres triés eux aussi sur le volet. En ouvrant les volets, l'amateur trouvera ainsi : Eel Girl de Paul Campion, The Eel de Dominic Hailstone, Gouzi Gouzi de Pascal Stervinou, Welcome to Spain de Carlos Atanes, Dark de Cédric Jouvin, Boy's Flesh de Vivid Atak et Le Domaine des Non Revenus de Viktor Alexis.

Langues: Français
Sous-titres: Français, Anglais














jeudi 29 avril 2010

CANDYMAN - DVD - 5,90 €




Avec Candyman, le croquemitaine ordinaire s'identifie à Dieu, ou bien au diable, dans la mesure où ses victimes doivent croire en lui pour le voir apparaître. Son parcours de martyr avant sa mort présumée lui confère justement une sérieuse aura christique, d'autant que l'horreur de ses crimes n'empêche pas un besoin d'amour inhabituel chez les tueurs de son espèce. Tout aussi pathétique nous apparaît l'héroïne (vibrante Virginia Madsen, récompensée par un Oscar pour ce film au Festival d'Avoriaz de1993), dont le sacrifice va permettre la survivance de la légende urbaine, véritable sujet du film. Outre ses deux suites, Candyman inspirera d'autres histoires de tueurs au crochet (Lovers Road, Campfire tales...) à la poursuite d'habituels teenagers pour une fois absents de cette histoire...












mercredi 21 avril 2010

lundi 12 avril 2010

PROFIT - DVD - 19 €






PROFIT
Série crée par David Greenwalt et John McNamara et produite par Stephen J. Cannel, David Greenwalt et John McNamara - Avec Adrian Pasdar, Lisa Zane, Lisa Blount...















"Profit" est arrivé 15 ans trop tôt. Diffusée aux Etats-Unis en 1996 sur la Fox, cette série choque dès le premier épisode. Elle est débarquée au bout de quatre. C'est en France qu'elle obtient le plus de succès, grâce à la diffusion sur Jimmy des 8 épisodes complets qui composent cette unique saison 1.


Le personnage qu'interprète Adrian Pasdar (qu'on a vu depuis dans "Heroes") est manipulateur, machiavélique et dangereux. Jim Profit est un vrai psychopathe (sans lui trouver d'excuses : avec quand même de sérieux traumatismes). Il évolue dans le milieu de la finance, chez Gracen & Gracen, une énorme multinationale. Son seul but : le pouvoir. Le scénario aborde des thèmes que l'Amérique ne veut pas voir traiter (à l'époque, la liberté de ton que propose le câble aujourd'hui n'existe pas), des thèmes qui vont précipiter la chute de la série : drogue, sexe, lesbianisme, parricide, blanchiment d'argent... ...
Le nom de Profit est un croisement entre le "Richard III" de Shakespeare et un des personnage de la série "Un flic dans la mafia", série cultissime de la fin des 80's, produite elle aussi par Stephen J. Cannel, série ô combien référente des "Sopranos". On est là en territoires connus.
L'avènement que les séries télé connaissent aujourd'hui nous amène évidemment à quelques comparaisons : la voix off de Jim Profit qui parcoure chaque épisode ("Dexter"), la manipulation et les retournements de situation ("Damages"), certains épisodes qui débutent ou s'achèvent sur un même dispositif récurant ("Lost"), etc...

"Si l'on veut être aimé, il faut ouvrir son cœur. Si l'on veut être obcessif, il faut le fermer" dixit Jim Profit.
C'est vrai, Profit est un personnage fermé, perméable au monde, et la vision des 8 épisodes provoque bien l'addiction. Dans une saison 2, Profit aurait évolué dans le milieu politique... comme conseiller d'un sénateur. Dommage.

L'excellente édition (et le coffret très soigné) sortie chez Free Dolphin est composée des 8 épisodes et de deux reportages sur la série .












samedi 10 avril 2010

LA MALEDICTION DE LA MOUCHE - DVD - 6,90




Le thème abordé par La Mouche Noire et Return of the Fly touchera la vieille Europe à l'occasion de ce Curse of the Fly (1965, Don Sharp) tourné en Angleterre et dont la particularité consiste à ne pas montrer d’hybride homme/mouche, mais par contre, et entre autres, un fort curieux spécimen d’humain croisé avec un cochon d’Inde. L’histoire traite en même temps de quatrième dimension, certains cobayes partant bien du premier télépode mais n’arrivant jamais au second. Et ceci trente ans avant qu’on invente Avis de Recherche, jugez de l’angoisse. D’autres arrivent à bon port mais dans un tel état de décomposition que le savant doit se résoudre à les stocker dans ses caves en attendant de perfectionner sa technique. Grave ! Pas top top, mais jouissif quand même...














LA MOMIE - DVD - 6,90 €




Égypte, 1922. Une expédition du British Museum s'achève par la fuite de la momie du prêtre renégat Imhotep, réveillée par l'irresponsabilité de l'assistant du professeur Whemple. Dix ans plus tard, Imhotep reste introuvable. Malgré que son assistant ait fini ses jours dans un asile d'aliénés, Whemple pense que la momie a été dérobée. La nouvelle expédition en Égypte, menée par le fils Whemple, va mettre à jour le tombeau de la princesse Anck-es-en-Amon, dont la lointaine mort fut à l'origine de la condamnation d'Imhotep. Chose singulière, le tombeau fut indiqué aux scientifiques par un étrange vieil homme égyptien, Ardath Bay... Whemple, son père et un collègue ne mettront pas beaucoup de temps à découvrir que Ardath Bay est Imhotep, et qu'il projette de redonner vie à sa fiancée en utilisant le corps de sa descendante, Helen Grosvenor.

L’Universal imagine en 1932 de sacraliser le mythe de La Momie, tout comme elle l’avait fait un an auparavant pour Dra­cula et Frankenstein. John L. Balderston, déjà responsable du scénario du Dracula de Tod Browning, rédige en effet celui de La Momie (The Mummy) d’après un argument de Nina Wilcox Putman et Richard Chayer. L’in­trigue, d’une simplicité rare, met l’accent sur la malédiction envers les profanateurs (la découverte du tombeau de Toutan­kha­mon remonte justement à une dizaine d’années), la résurrection de la mo­mie, bien sûr, et aussi la survie d’un amour assez fort pour traverser les siècles.
Mais The Mummy privilégie surtout l’image, et le choix de Karl Freund à la réalisation, déjà directeur de la photographie sur maints films et non des moin­dres (Metro­polis, Dra­cula, Le Crime de la Rue Mor­gue), n’est sans doute pas innocent de la part des responsables du studio. Les dialo­gues interviennent peu et pour le strict nécessaire (il suffit de comparer avec les précédents et bavards, Dracula et Fran­kens­­tein, à la photographie tout aussi exem­plaire, ceci dit). La caméra glisse en de lents travellings, ouvre sur de véritables tableaux décoratifs, joue du contraste entre l’ombre et la lumière en virtuose et accompagne le récit avec un naturel étonnant pour l’époque. Notamment quand les yeux de Boris Karloff s’illuminent soudain par un simple travail d’éclairage ou lorsque la mo­mie se désagrège littéralement dans la séquence finale.
Ceux qui connaissent surtout ce thème à travers ses nombreuses adaptations ultérieures seront certainement surpris de dé­couvrir l’originalité principale de ce film fondateur. En effet, Boris Kar­loff/Im-Ho-Tep n’apparaît pra­tiquement pas couvert de ses ban­delettes, mais compose au con­traire, sitôt passée la première scène de la résurrection, le personnage de Ardath Bey. Un hom­me énigmatique, au ton doucereux, au visage parcheminé. Sa force de persuasion et ses pouvoirs psychiques servent son si­nis­tre projet : faire renaître à la vie éternelle l’ancienne vestale pour l’a­mour de laquelle il fut enterré vivant 3700 ans plus tôt.
The Mummy exploite à la fois cette pseudo malédiction des pharaons évoquée à propos de la disparition d’une vingtaine de personnes ayant travaillé sur (ou après) la dé­cou­verte du tombeau de Toutan­kha­mon, ainsi que la popularité d’un Boris Karloff con­sacré vedette de l’horreur après ses pres­tations sur Frankenstein, The Old Dark House et le tout récent Masque d’Or où il incarnait le sinistre Dr. Fu Manchu.

Bonus : Commentaire audio de Paul M. Jensen (Historien de cinéma), Documentaire : Momie Adorée (30m), Galerie de photos et posters, Bande annonce














vendredi 9 avril 2010

DERNIER MONDE CANNIBALE - DVD - 9,90 €




Ultimo Mondo Cannibale. 1981. Réal.: Ruggero Deodato. Scén.: Renzo Genta, Tito Carpi, Gianfranco Clerici. Int.: Massimo Foschi, Me Me Lai, Ivan Rassimov, Sheik Razak Shirkur. Prod.: Giorgio Carlo Rossi, Erre Cinematografica. Distr.: Audifilm. Italie.

Sortis également sous les titres de Jungle Holocaust, Horror Cannibal, Carnivorious.

En route pour l'île de Mindanao, un avion avec quatre passagers, s'écrase dans la jungle. Les rescapés sont agressés par des cannibales et seuls Robert Harper et Rolf parviennent à s'échapper. Perdu et affamé, Harper est finalement capturé par une tribu pour être soumis aux pires atrocités.


Déclinaison complaisante du genre anthropophago-tarzanesque revisitée façon Un Homme nommé Cheval. C’est en recherchant une équipe de photographes égarée dans la forêt d’une petite île des Philipines qu’une autre équipe... s’égare à son tour ! Flûte alors ! Il va leur falloir affronter cet enfer vert où la nature se montre aussi hostile que les rares indigènes cannibales demeurés au stade primitif et vivant encore dans de sombres et répugnantes cavernes. C’est l’occasion pour Deodato de nous asséner quelques séquences extrêmes dignes des pseudos documentaires à la Giacopetti, les meurtres réels d’animaux alternant avec des trucages où la tripe joue la plus large part, notamment lors de l’éviscération complète de la belle Me Me Lai (très mimi !), par bonheur une grande spécialiste de la chronique anthopophagesque à travers diverses bluettes comme Au Pays de l’exorcisme ou encore La Secte des cannibales (Mangiati vivi dai Cannibali). Si c’est pas du titre, ça !





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jeudi 8 avril 2010

DEMENTIA 13 - DVD - 5,90




























Ou The Haunted and the hunted. 1963. Réal.: Francis Ford Coppola. Scén.: Charles Beaumont, Francis Ford Coppola. Int.: William Campbell, Luana Anders, Bart Patton, Patrick Magee, Mary Mitchell. Prod.: Roger Corman, AIP. USA.

En 1962, Coppola est ingénieur du son sur The Young racers, produit et réalisé par Roger Corman. Les deux hommes échafaudent ainsi le projet de ce Dementia 13 tourné en noir et blanc, sur trois jours et pour 20.000 petits dollars. Le script, pas toujours linéaire (la scène du début parfaitement anachronique) s’inspire des films de William Castle, de La Maison du Diable (Robert Wise), et surtout du Pychose d’Alfred Hithcock, dont les dollars résonnaient encore agréablement au fond des tiroirs-caisses. Un mystérieux tueur à la hache s’acharne sur l’entourage d’une famille déjà éprouvée par le décès de la petite Kathleen retrouvée noyée dix ans plus tôt dans d’étranges circonstances. Film d’atmosphère, d’une lenteur mesurée, s’il n’était la frénésie des quelques meurtres représentés, Dementia 13 offre une superbe photographie au noir et blanc et annonce à la fois le giallo italien et les slasher movies à la Vendredi 13. Et d’ailleurs, pourquoi ce «13» à Dementia 13, prescience ?














L'HOMME INVISIBLE - DVD - 5,90



































Universal, après Dracula, Frankenstein et La Momie, aborde ce nouveau thème et, pour se faire, décide d’adapter quasiment texto le ro­man d’H. G. Wells. Tout juste y remarque-t-on le déplacement de certains personnages et aus­si l’apport du délire mégalomaniaque du hé­ros, rêvant sous l’emprise de la monocaïne con­tenu dans le sérum, d’asservir le monde entier, de puiser sans fin dans les réserves d’or et, tandis que l’héroïne lui vante «les calmes soirées à passer encore ensemble», de s’enfoncer dans des considérations nettement moins prosaïques : «Non, le monde entier vivra dans la terreur, et même La lune aura peur de moi» (!).
James Whale respecte le récit de l’auteur à décrire la vulnérabilité de son héros, cherchant en vain à retrouver son état originel, trahi par la faim, le froid, et aussi par son entourage, lâ­che, cupide, ou tout simplement terrorisé. Ce pa­thétisme est cependant balancé de façon étonnante par le réalisateur au moyen de quel­ques séquences hu­moristiques, notamment à l’encontre des pauvres policiers dépassés par les événements, avant de noircir le personnage pour mieux préparer sa chute. Tel le monstre chassé par la société normalisante, tel le loup-garou, ou son propre voisin d’expérience, le Dr. Jekyll, Griffin retrouve de plus en plus difficilement son esprit sain (?). Il provoque ainsi quel­ques meurtres, va jusqu’à faire dérailler un train et trouve sous les balles des policiers à la fois son châtiment et sa rédemption car, à l’instar des monstres cités plus haut, il regagne en mourant visage humain (en l’occurrence celui de Claude Rains apparaissant pour la première fois à l’image, et accessoirement à l’écran, puisqu’il s’agissait de son premier rôle).

Bonus
Dossier L'Homme Invisible se dévoile
Commentaires du film par l'historien Rudy Behlmar
Les photos de la production















mercredi 7 avril 2010

NÔDÖSA - The Door - CD - 8,50 €




Nôdôsa, un groupe de death metal qui arrache. Des guitares incisives, une basse particulièrement mélodique et indépendante soutenue par une batterie puissante et recherchée, le tout emmené par un chant guttural aéré : voici l'univers de ce quartet de Death Metal seine-et-marnais qui fait les beaux soirs des fans lors de récents concerts super-vitaminés.
Comment ne pas céder à ces destroys accents d'un CD cédé à prix sacrifié, faut bien s'aider ! 8,50 € (port compris). Par chèque à Metaluna Productions, 23, rue d'Anjou, 75008 Paris. Ou par Paypal (bouton ci-dessous).

"Les mecs de Nôdôsa ( dont une meuf ) balancent un petit passage ambiance ici, un petit sample là, et aèrent leur création de petites touches d'inventivité qui font la différence entre un disque qui fait chier, et un autre qui donne envie d'en entendre davantage. ça joue bien, c'est auto-produit, c'est de l'énergie pure"...
(Hard Rock Magazine, dans son (joue contre joue...). Euh... non ! Dans son numéro d'avril).













mardi 6 avril 2010

lundi 5 avril 2010

MAD MOVIES N° 80 - 10,00 €




Le plus récent des numéros épuisés concerne ce 80 presque entièrement consacré au king Stephen King. King, pourquoi, comment, quand ?. Vous saurez tout sur ce spécial King, qui nous rend kong, comme ils disent à Montauban.... De l'écrit à l'image,, analyse de l'œuvre, analyse des chiffres, analyse de toutes les adaptations cinématographiques, du box office, etc...Reste la place pour un entretien avec Rick Baker, puis Roger Corman, un dossier La Mort vous va si bien, les séries TV de science-fiction et les balbutiements de la Mad Rubrik où l'on célèbre entre autres calembredaines la girafe de Tanzanie, une passionnante K7 Club Med de remise en forme ou encore "La Nasa à l'écoute des Extra-terrrestres et ses premiers messages captés (Bzurkw Président, Nasa Caca, A poils les Terriens, Mars aux Martiens et autres réactions d'une haute portée philosophique). Le tout pour 10 petits euros que ça fait pas cher du kilo..., port compris.
















MAD MOVIES N° 34 - 10,00 €


Un numéro 34, épuisé lui aussi, dévolu aux maquillages du spécialiste Carl Fullerton, avec plein de photos renversantes, bien concurrencées par celles de Chris Tucker s'épanchant sur les effets de La Guerre du feu ("ça brûle" nous dira-t-il...) et de La Compagnie des loups. Sinon, le numéro fait la part belle à Brazil, Termintor, Dune, Philadelphia experiment, La série Au-delà du réel envisagée par cet encore autre regretté collaborateur de Mad et ami fidèle, Bernard Lehoux, avec qui les crises de fou-rires devenaient monnaie courante. Sinon, entretien avec Wes Craven pour tout le monde, un doigt de Razorback avant de se coucher, pour rejoindre Les rêves des "Griffes de la nuit", suite au sommeil provoqué par une analyse assez vigoureuse de JPP coincé en 1984 (le film), et dont l'explication du phénomène de la "double pensée" reste à la philosophie courante ce que la propriété des ensembles flous représentent aux mathématiques : très... vagues. !... Au réveil : atelier modelage où l'on apprendra à finaliser ces créatures du cinéma d'animation animées le plus souvent des meilleures intentions. Un des plus beaux numéros de tous les temps pour 10 petits euros de rien du tout, port compris.














MAD MOVIES N° 28 - 10,00 €




Au sommaire de ce très rare et très copieux numéro, épuisé parmi les premiers, La Foire des ténèbres, La Quatrième dimension (le film), la série des trois premiers "Dents de la mer", et surtout un super épais dossier sur les trois "Guerre des étoiles", que nous avions confié à notre envoyé spécial sur Tataouine, notre ami Bertrand Collette, qui n'est jamais revenu depuis ! ("Allo, Ouinnn" nous lamentions-nous au téléphone, mais dans l'espace nul n'entend la sonnerie du téléphone, c'est bien connu)... Un certain Kevin Collette l'aurait remplacé, paraît-il, mais, à mon sens, il s'agit sûrement d'un imposteur ! Denis Tréhin s'embarquait pour sa part dans un passionnant dossier fleuve sur les Demeures fantastiques à l'écran, tandis que Pierre Pattin nous remettait la gomme avec un spécial "les films de kung-fu fantastiques". "Oh ! tu crois" le calmions-nous, "si, si" répondait-il d'un ton impérial correspondant bien à cette première réponse de "si, si" impératrice... Un rare et beau numéro, riche de 180 photos en couleurs, vendu tout neuf, comme sorti de chez l'imprimeur. 10,00 €, port compris.















MAD MOVIES N° 27 - 10,00 €




Un très rare numéro, épuisé. Au sommaire, Le Retour du Jedi, Les Prédateurs (Autrement dit, encore le retour du jet d'ail...), un dossier Barbara Style (laissez, c'est joli aussi !), Un autre sur Le Chien des Baskerville, version Fisher, par notre ami Marcel Burel. Entretien David Bowie, Richard Rubinstein (producteur pour Creepshow), Barbara Steele (encore ?), et surtout le célèbre "Crayon-bis" de cet autre regretté rédacteur de Mad, Pierre Pattin, penché cette fois sur le gore indonésien "très crypto-bandulatoire" estimait-il, et nous n'osions trop le contrarier... une excellente analyse de l'œuvre de Bernard Herrmann par Yves-Marie Le Bescond, dont Mad Movies s'honore d'avoir fait connaître la plume. Et encore une chronique circonstanciée sur les deux "James Bond" rivaux de l'époque, Octopussy et Jamais plus jamais. Un numéro très "dense, dense, dense", comme on le voit, assez représentatif de "l'esprit Mad Movies" durant cette époque. Un rare et bel objet vendu comme ça, tout neuf, comme sorti de chez l'imprimeur. 10, 00 €, port compris.













MAD MOVIES N° 25- 16,00 €






Un très rare numéro, épuisé depuis près de 15 ans. Au sommaire, Les Films d'Avoriaz, Des entretiens avec Dick Smith, Dario Argento. Dossier Alien, Tobe Hooper, plus la fameuse rubrique du Cinéfan, où le regretté Benoît Lestang nous apprenait comment réaliser des maquillages de zombies. "A la Romero, ou à la Fulci ?" nous demandait-il, invariablement. "Euh..." répondions-nous dans un élan quasi général. "Ah non, parce que c'est pas la même chose," s'enflammait-il aussitôt... et... et la suite est dans ce N° 25, donc... Un rare et beau numéro vendu tout neuf, comme tout droit sorti de chez l'imprimeur. 16, 00 €, port compris.














MAD MOVIES N° 35 - 16,00 €




Un très rare numéro, épuisé depuis plus de dix ans. Au sommaire, Le Retour des Morts-vivants, Electric Dreams, Phenoména, 2010, Starman, Terminator, premier du nom, entretien avec Carlo Rambaldi,, Dossier Star Trek, Brian de Palma, et encore Le Film décrypté : Blade Runner. Un rare et beau numéro vendu tout neuf, comme tout droit sorti de chez l'imprimeur. 16, 00 €, port compris.














MAD MOVIES N° 31 - 16,00 €



Un très rare numéro, épuisé depuis plus de dix ans. Au sommaire Indiana Jones et le temple maudit, Vendredi 13 n°'4, portrait de Caroline Munro, Splash, avec la belle Daryl Hannah, entretien avec Larry Cohen, dossier Série télé La Quatrième dimension, dossier Heroïc Fantasy, et encore dossier Les Demeures Fantastiques. Un ouvrage méritoire, assez représentatif de l'ancienne formule tellement célébrée par les lecteurs actuels du magazine. Exemplaire parfaitement neuf. 16, 00 €, port compris.













IMPACT N° 36 - 6,00 €




Le rare numéro 36 d'Impact retraçant 20 ans de Festival d'Avoriaz, avec, pour chaque année, toutes les sélections; les prix obtenus, le Palmarès, la composition du jury, la chronique des films les plus importants, ainsi que des dossiers thématiques sur les tendances, la politique de programmations, les événements notoires, égayés de plein de photos partout. Un numéro exceptionnel pour un prix modique ! 6, 00 €













dimanche 4 avril 2010

ATOMOVISION N°4 - 12,00 €



Le fanzine de Fabrice Lambot est encore disponible à une poignée d'exemplaires. Au sommaire du numéro quatre : Interview Robert Wise : 1ère partie
Jack l’Éventreur au cinéma (a trouvé le film à chier ! Non, c'est pas ça !),
Zinoscope
Dossier : Ils ont marché sur la Lune (sans essuyer leurs pieds apparemment...), Jacques Tourneur, cinéaste d’ombre et de lumière,
Les Fu-Manchu de Warner Oland
H.G. Lewis, le magicien du Gore + interview
À la recherche de la cassette perdue













ATOMOVISION N° 5 - 12,00 €




Quelques numéros sont encore disponibles . Au sommaire : Simone Simon, la Féline : interview
Dossier Vénus : filmographie
Zinoscope
Dossier Méliès + interview de Marie-Hélène Lehérissey-Méliès
Dracula Vs. Spanish Dracula
The Milpitas Monster
Interview Robert Wise : 2ème partie
À la recherche de la cassette perdue