MOVIES 2000, LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS

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jeudi 13 mai 2010

NUE POUR L'ASSASSIN - DVD - 10,90 €








































1975. Italie. Réal. et Scén.: Andrea Bianchi. Int.: Nino Castelnuovo, Franco Diogene, Edwidge Fenech, Femi Benussi, Giuliana Cecchini, Erna Schurer. Prod.: Fral Cinematografica. Distr.: Neo Publishing.

Andrea Bianchi, dont personnne n’aura oublié l’excessif Manoir de la terreur avec ses «zombies comme tout rongés par le temps» (cf. le dialogue). Le même, donc, mais une parenthèse plus tard, aborde le giallo à une époque où il faisait bon gialler. Son œuvre, admirablement photographiée par Franco Delli Colli, reprend en fait les canons du genre : arme blanche, suspense glaçant et clin d’œil appuyé au Six femmes pour l’Assassin de Mario Bava, tout en misant sur la physionomie sympathique de ses interprètes féminines. Car là, il frappe fort ! Réunir à la fois Edwidge Fenech (Cinq filles dans une nuit chaude d’été), Erna Schurer (Le Monstre du Château. Mais c’est pas elle le monstre hein...), Solvi Stubing (New York appelle Super Dragon. Un appel urgent semble-t-il) et la délicieuse Femi Benussi (Tarzana, Sexe sauvage. Oui, ce surnom de sexe sauvage, car on ne s’épilait pas encore à l’époque, et en plus ça se passe dans la brousse, donc c’est assez touffu comme histoire !), bref, réunir un pareil casting sur un même plateau, relève de l’érotomanie caractérielle. Confirmé par l’acteur Nino Castelnuovo qui présente de cette façon le beau DVD paru chez Neo Publishing trente ans plus tard : «Ma, çé oune filmé trézamousante» !
Et il a raison. A force de s’amuser le spectateur finit même par penser à autre chose, car on a jamais vu autant de fesses à l’air au mètre de pellicule impressionnée. Impressionnante aussi, Fessue Benissu (ou Femi Benussi, je sais plus, vous n’auriez pas un verre d’eau fraîche à la rédac’ ?) tourne à elle seule une scène d’au moins cinq minutes, entièrement nue, potelée, poilue, très à l’aise...
En face : le tueur ! Alors lui, il redoute le froid ou bien craint de se faire reconnaître. Bottes de moto, casque intégral, un blouson de cuir noir sur le dos. Pas de doute, l’assassin c’est bien ... Edith Piaf ! (Non c’est pas ça, je la sens moyenne cette chronique. Bon, alors, ça vient ce verre d’eau ?). Et tout ceci se déroule dans l’univers un rien sophistiqué d’une agence de top model toutes plus affriolantes les unes que les autres. Du coup, bien sûr, l’enquête piétine : le regard appuyé de l’inspecteur beauf sur la petite culotte rouge d’une d’entre elles dure à peu près une minute, montre en main mon cousin (Oui, ben un whisky, ça ira aussi... Ah, ces stagiaires !).
Bref, nu intégral contre casque intégral, les meurtres déroulent, brutaux, sadiques, sanglants, mouillés (car on perçoit un ruissellement suspect avant chaque agression (ou alors un assistant lui verse à boire à ce moment. Il a un sacré pot, lui !), et la conclusion nous révèlera enfin l’identité stupéfiante de l‘assassin qui n’est autre que... Comment ça, j’ai plus la place ? Le bas de la page, déjà ? Ah bon, tant pis. Dites donc, c’est au moins du huit ans d’âge, ce truc, et vous le faites avec des glaçons on dirait. Oui, ben versez-les moi directement sur le crâne alors, ça va me faire du bien, merci...















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